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Rapport sur les résultats de Nuage de talents

Cinq choses qui nous ont surpris

La capacité de travailler côte-à-côte avec les gestionnaires et les conseillers en RH et de communiquer avec les candidats tout au long des processus de dotation nous a donné l’occasion d’observer comment les utilisateurs se comportent dans le monde réel. Et il y a certaines choses auxquelles nous ne nous attendions pas.

#1 Nous pensions : avoir de la difficulté à convaincre les demandeurs d’utiliser la plateforme.
Il s’avère que : trouver des gestionnaires prêts à utiliser une plateforme expérimentale a été le principal défi en termes d’expansion.
#2 Nous pensions : que l’accès élargi à la plateforme serait le choix optimal pour les ministères partenaires.
Il s’avère qu'il : y avait parfois une hésitation à partager l’accès, même entre les directions générales d’un même ministère, à moins qu’une entente financière interne ne soit conclue.
#3 Nous pensions : avoir une bonne compréhension de la diversité de la culture des RH au sein de la fonction publique.
Il s’avère que : l’ampleur de la diversité dans les modèles opérationnels, combinée au roulement élevé du personnel des RH, a créé certains défis de conception, même pour une plateforme aussi adaptable que la nôtre.
#4 Nous pensions : que les talents très performants, surtout les candidats qui ont des offres concurrentielles, auraient une tolérance presque nulle pour les retards dans le processus d’embauche.
Il s’avère que : si les demandeurs avaient le sentiment d’être valorisés et croyaient que le processus était bien conçu (équitable, clair et en progression), ils étaient plus compréhensifs et plus disposés à attendre. (C’était particulièrement vrai s’ils communiquaient avec le gestionnaire, soit en lisant le projet, soit au cours de l’entrevue.)
#5 Nous pensions : que le fait d’avoir un poste classifié et une confirmation des gestionnaires et des conseillers en RH représentait un certain degré de certitude que les processus d’emploi annoncés seraient finalisés et non annulés.
Il s’avère que : les annulations se sont produites plus souvent que prévu. La plupart étaient attribuables à l’évolution des niveaux de financement et des exigences opérationnelles, tandis que d’autres étaient attribuables à des changements de gestion. Il n’est pas surprenant que les processus plus rapides aient eu de meilleurs taux d’achèvement.

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